Après avoir tout retourné sur leur passage à leurs débuts, puis s’être écroulés comme des merdes, ils ont réussi, ces vieilles carnes, ils n’ont rien lâché. Ils sont devenus énormes, un rouleau compresseur mi-newwave/ mi-varieté. Une exemple de volonté, de persévérance et de passion. Que l’on soit jeune ou vieux, on a tous quelque chose en nous d’Indochine, un crush pour une chanson, ou une anecdote dont ils seraient la bande-son. Message à l’attention de M. Sirkis : Je t’aime Nico, aussi fort que j’aime les licornes, mon hand spinner et les vidéos de chaton.
FREDERIC MATON