Remords par minute

Milieu du printemps, c’est l’heure de profiter du jardin.

Onze amis se retrouvent pour savourer ce moment primesautier.

On se délecte et on prend plaisir jusqu’au moment où apparaît la culpabilisation.

« Dans R.P.M, Il est question de culpabilité, de son universalité, de l’emploi que l’on en fait et du rire que l’on peut en retirer.

Couvert d’une esthétique inspirée d’une mode d’une partie du courant electro, R.P.M doit trouver son rythme dans sa version hybride où l’écriture et l’improvisation se conjuguent.

Une fois de plus, je m’attache et je rebondis avec le ressort tragi-comique pour créer ce spectacle centré sur les formes de culpabilités de ces 11 personnages.

D’Oreste à la culpabilisatrice manipulatrice, les facettes de la culpabilité sont multiples et déformantes dans R.P.M. Le rapport à la transgression de la morale est passionnant et dévorant. L’autoflagellation est exaspérante et/ou ridicule. Le pardon est fragile. Le jugement est rapide. Tous ces procès intimes à la vitesse de l’éclair. »