Scopitone, festival de musique électro ? Oui, mais pas que ! Entre deux disc jockeys, les expositions et les performances de la partie « art numérique » de la programmation feraient passer les œuvres du Voyage à Nantes pour les peintures rupestres de Lascaux. Ainsi, le Jardin des Plantes accueille un dispositif de Thom Kubli constitué d’un ensemble d’instruments à vent produisant des bulles telles des ondes sonores. Robert Henke squatte le Château des Ducs avec une installation lumineuse et hypnotique, tandis que le Québecois Daniel Iregui pose son cube interactif sur l’Esplanade des Traceurs de Coques (et non de coke). Le Musée d’Arts accueille la surprenante Aki Inomata qui réalise ni plus ni moins des coquilles pour bernard-l’ermites aux formes surprenantes (le skyline de New-York, châteaux…) en usant d’impressions 3D. Cute absolu et WTF.