Il y a le costard pressé qui s’en jette un vite fait à l’angle du zinc. Il y a l’élégante pomponnée et son latte macchiato caramel au bon goût de diabète. Il y a les enfants intrépides qui trempent un petit carré de sucre dans la tasse de Papi pour faire un petit canard doux amer. Il y a la famille chicorée car c’est plus digeste. Il y a Patrick du marketing qui propose « un ptit kawa ? » à 10h pétantes à la machine de l’open space. Il y a ceux qui aiment la capsule pratique. Ceux qui préfèrent le piston écolo. Ceux qui le préparent la veille. Celles qui ne jurent que par l’arôme du frais moulu. Ceux qui « zut on n’a plus de filtre ». Celles qui « non merci parce que après je ne dors pas ». Et bien sûr, il y a ceux et celles qui en boivent des litres pour boucler à temps l’article que vous lisez.
SANDRINE CHOUZENOUX
Le sachiez-vous ? Le 1er octobre, c’est la journée internationale du café
Kawa bunga
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